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Gaza, la Violence continue

31 octobre 2010

La Bande de Gaza, le blocus continue.

La bande de Gaza est une bande de terre étroite située au sud-ouest de la Palestine colonisée [Israël] par le sionisme terroriste, du nom de sa principale ville Gaza. Ses habitants sont appelés les gazaouis. C'est un des territoires les plus densément peuplés au monde.

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La Bande de Gaza sous contrôle égyptien

À la fin du conflit israélo-arabe de 1948, la bande de Gaza fut occupée par l'Égypte, et le resta jusqu'à la colonisation par Israël pendant la guerre des Six jours (1967). Le territoire vit l'arrivée d'environ 170 000 réfugiés installés dans huit camps.

En 1950, la population était de 254 000 habitants.

En 1956, quand Israël intervint en soutien de l'opération anglo-française contre l'Égypte, l'armée israélienne prit le contrôle de la Bande de Gaza. L'intervention des grandes puissances (États-Unis et Union soviétique) conduisit au retour d'Israël derrière ses frontières de 1948, et au retour de l'administration égyptienne sur Gaza.

La Bande de Gaza sous l'occupation israélienne

Les forces israélienne envahirent de nouveau Gaza dès le début de la guerre des Six jours (juin 1967), et aboutit à une très longue période d'administration militaire israélienne (1967 - 2005 soit près de 40 ans).

Du point de vue de l'idéologie sioniste, Gaza fait partie de « Eretz Izraël » (territoire de la Palestine biblique), un immense mensonge fabriqué par les sionistes du 18 ème S.

Mais l’Intifada du peuple palestinien (29/09/2000 – 10/09/2005) devait tôt ou tard imposer un retour à la réalité. Depuis le premier jour de l’Intifada, l'administration sioniste du territoire a imposé un blocus sévère et inhumain, qui a affecté tous les aspects de leur vie quotidienne. Suite à la fermeture des frontières avec la Palestine colonisée (Israël) et l’Egypte, les entrées et sorties du territoire sont devenues impossibles : un million et demi de Gazaouis s’en retrouvent prisonniers. 

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Ainsi, des milliers d'ouvriers palestiniens n'ont plus le droit de travailler en Israël ( la Palestine colonisée) et un grand nombre de Palestiniens originaires de la Bande de Gaza et Cisjordanie ne sont plus autorisés à se déplacer librement entre Gaza et la Rive occidentale. Les accords de paix d'Oslo n'ont pas empêché Israël de pénaliser collectivement la population de Gaza, sous prétexte que les mesures sont prises pour des « raisons de sécurité ».

Le 17 août 2005, le gouvernement israélien conduit par le criminel Ariel Sharon ordonna à l'armée et à la police l'évacuation des colonies juives de la bande de Gaza.

Enfin, le 12 septembre 2005 les troupes israéliennes quittèrent la bande de Gaza, après 38 ans d'occupation.

La Bande de Gaza, le blocus continue-  janvier 2006

En janvier 2006, le blocus s'intensifie. Outre la fermeture de la frontière, Israël impose un embargo économique dévastateur sanctionnant la population palestinienne pour avoir fait un choix démocratique. En effet, lors des élections de janvier 2006, le Hamas a remporté la majorité des sièges au cours d'élections transparentes et démocratiques. L'Occident - sous la direction des USA - a alors imposé au gouvernement Hamas nouvellement élu des sanctions économiques et politiques pénalisant en même temps 1,5 millions de personnes dans la Bande de Gaza. L'embargo international a entraîné une violente lutte interne entre les deux principaux partis politiques, à savoir le Hamas et le Fatah. Cette lutte interne a été interrompue à plusieurs reprises lors de tentatives de formation d'un gouvernement d'unité nationale et de réconciliation des deux partis. L'intervention des Etats-Unis au travers de son soutien à l'un des deux parti a conduit en juin 2007 à la victoire du Hamas sur le Fatah dans une prise de pouvoir sanglante. Gaza s'est retrouvée complètement isolée du reste du monde.

Le blocus et l'embargo économique touchent toute la population et déterminent chacun des aspects de la vie quotidienne. L'isolement se poursuit, tout comme les opérations militaires quotidiennes de l'armée israélienne dans la Bande de Gaza pour empêcher les attaques de missiles contre Israël. Ces opérations ont débouché sur une guerre disproportionnée avec un recours excessif à la violence, sans distinction entre civils et soldats.

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L'approvisionnement énergétique limité, la fermeture de la frontière et la pénurie de médicaments de base constituent une autre forme de punition collective, désormais courante à Gaza. Jamais la misère n'a été aussi grande. A l'heure actuelle, 80 % de la population vit sous le seuil de pauvreté et dépend en grande partie des organismes d'aide internationale. 35 % de la population vit dans une misère extrême.

La pauvreté rend malade

art_large_275844La pauvreté a un impact direct sur l'équilibre alimentaire. Les enfants, qui à Gaza représentent 56 % de la population, en sont les principales victimes. En janvier 2008, 63,4 % des enfants palestiniens de moins de 5 ans souffraient d'anémie, comparé à 57,5 % en 2007. L'aide alimentaire fournie par les organismes d'aide internationale ne suffit pas à garantir aux enfants l'alimentation équilibrée dont ils ont besoin pour une bonne croissance. Même les personnes qui ont les moyens financiers ont des problèmes car non seulement le prix des aliments est élevé mais aussi beaucoup de denrées de première nécessité, comme le lait et l'huile de cuisson, sont rares dans les magasins dû à un manque d'importations.

Impact psychologique sur la communauté

071123_el_haddad_gazaLa fermeture permanente de la frontière, le blocus économique, le manque de combustibles et d'électricité ainsi que les opérations militaires continues contre la population de Gaza sont non seulement responsables de la misère mais créent également une situation de stress permanente. Il n'est dès lors pas étonnant que 64 % des enfants palestiniens souffrent de stress post-traumatique, de cauchemars, angoisses, troubles de la concentration, incontinence, hypersensibilité,... Les adultes également présentent des troubles psychologiques sérieux tels que dépression, angoisse, cauchemars, insomnie et irritabilité. La violence domestique a elle aussi sensiblement augmenté.

La Bande de Gaza, le blocus continue-  Juin 2007

untitledDepuis juin 2007, la Bande de Gaza subit un blocus quasi total. La population palestinienne, maintenue sous haute surveillance satellitaire, est encerclée sur son territoire de 360 km2 par des clôtures de grillages et de barbelés. Tous les points de passages et toutes les sources régulières d'approvisionnement sont verrouillés par Tsahal, l'armée israélienne. L'administration locale est placée sous un strict embargo financier et les banques paralysées. Les habitants ne reçoivent presque aucun produit de première nécessité. Les médicaments, les carburants, les aliments, plus rien ne passe. Les stations de pompage d'eau ou de production d'électricité, les hopitaux, les maternités, les écoles, et d'une façon générale tous les services les plus indispensables à la vie quotidienne sont bloqués. La ville de Gaza, où vivent près de 500.000 personnes, est régulièrement plongée dans le noir suite à l'arrêt forcé de la centrale électrique. Moins de 200 petites entreprises peuvent encore travailler, au ralenti, sur les 3.900 qui étaient en activité avant le blocus de la Bande de Gaza. L'agriculture, secteur vital de l'économie locale, est réduite à néant par les interdictions d'exporter et par les pénuries de matières premières nécessaires aux exploitations agricoles…….

En réalité, pour tous les observateurs sincères, la transformation de la Bande de Gaza en une sorte de camp de concentration à ciel ouvert correspond à une stratégie d'isolement du Hamas. Dans ce que l'on peut qualifier en termes de droit international de Crime contre l'humanité, 1,5 million de palestiniens ont littéralement été pris en otage par l'Etat juif avec la complicité des grandes capitales occidentales, Washington et Paris en tête, afin d'isoler le mouvement islamiste. L'objectif de cette politique inhumaine d'enfermement et de restrictions est de rendre la vie invivable sur ce petit bout de territoire palestinien tout en rendant le Hamas responsable de la crise. La plupart des grands dirigeants occidentaux impliqués dans le processus de paix -- à commencer par George W. Bush et Nicolas Sarkozy habituellement plus rapide à condamner la moindre violation du Droit international ou des Droits de l'Homme lorsqu'il s'agit de pays arabo-musulmans -- se signalent quant à eux par un silence assourdissant. "Impuissants" devant la situation, ils se contentent de souhaiter la fin du conflit israélo-palestinien tout en soutenant activement la politique aussi improductive que destructrice de l'Etat juif qui n'a à l'évidence aucunement l'intention de créer les conditions de la paix au Proche-Orient.

La Bande de Gaza, Massacres et Violence Sous l’œil de la communauté internationale   – Décembre 2008

  La Guerre de Gaza est une opération militaire israélienne dans la Bande de Gaza, qui débuta le samedi 27 décembre 2008 à 11 h 30 du matin UTC+2 , caractérisée par des raids et bombardements aériens suivis par une offensive terrestre lancée le 3 janvier 2009 vers 19 heures 30.

L'objectif déclaré des Israéliens était de mettre fin aux tirs de roquettes Qassam du Hamas sur le territoire israélien (Palestine colonisée).

Le dimanche 18 janvier au matin, un cessez-le-feu est décidé par le gouvernement israélien, qui dit avoir atteint son objectif  !!!?

13120 palestiniens tués dont au moins 420 enfants, 104 femmes.

Plus de 5340 blessés dont environs la moitié sont des enfants et des femmes.

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31 octobre 2010

Gaza, la violence continue

Un appel adressé aux chefs d'Etats, gouverneurs et toute la communauté internationale!

Pourquoi tant de haine vers une population civil sans défence et sans soutient ?

 

La Guerre de Gaza est une opération militaire israélienne dans la Bande de Gaza, qui débuta le samedi 27 décembre 2008 à 11 h 30 du matin UTC+2 , caractérisée par des raids et bombardements aériens suivis par une offensive terrestre lancée le 3 janvier 2009 vers 19 heures 30.

L'objectif déclaré des Israéliens était de mettre fin aux tirs de roquettes Qassam du Hamas sur le territoire israélien (Palestine colonisée).

Le dimanche 18 janvier au matin, un cessez-le-feu est décidé par le gouvernement israélien, qui dit avoir atteint son objectif  !!!?

Un massacre épouvantable, une boucherie en directe, Sous l’œil de la communauté internationale, les chefs d’états et les défendeurs des droits de l’homme:

13120 palestiniens tués dont au moins 420 enfants, 104 femmes.

Plus de 5340 blessés dont environs la moitié sont des enfants et des femmes.

Ceci est donc un appel adressé aux chefs d'états et gouverneurs des arabes et des musulmans ; contenant un rappel des obligations qu'Allah leur a prescrit, à savoir le devoir de défendre notre religion et Ses lois ainsi que défendre et protéger nos frères palestiniens et nos sœurs veuves ou qui ont perdu leurs enfants, qui pleurent, qui appellent au secours et demandent qu'on mette fin à l'humiliation et l'indignation qui les touche.

Ou sont les droits de l’homme ?

La plupart des médias occidentaux ont tendance à minimiser l’horreur, la gravité et les conséquences à plus long terme des massacres commis par le gouvernement israélien contre le peuple palestinien réfugié dans la bande de Gaza. C’est vraiment scandaleux, jusqu’au quand vous soutenez cette violence ?

Participez a dévoiler la réalité de la haine sioniste, montrons au monde entier les massacres et les boucheries qui se passent quotidiennement à la Palestine.

Terrorisme ???

"Mon frère a fait pipi dans sa culotte. On a peur car les attaques continuent et on peut mourir à tout moment". Comme les autres enfants de Gaza, Mohamad Ayyad est traumatisé par les raids lancés depuis samedi par Israël contre le Hamas. (D’après Adel ZAANOUN GAZA)

Encore affolé, Mohamad, 11 ans, raconte une nuit d'intenses raids aériens dans son quartier, visant notamment un complexe de l'administration du Hamas et un centre communautaire du mouvement islamiste.

"Lorsque ils ont frappé le centre, nous avons entendu une énorme explosion et notre maison s'est emplie de poussière. Nous avons couru tout de suite vers le rez-de-chaussée", confie-t-il.
Son frère Ahmad, 6 ans, "a fait pipi dans sa culotte". "Nous avons tous peur car les avions sont tout le temps dans le ciel et on peut mourir à tout moment", dit le garçonnet.

"Ma maison aussi a été endommagée. Que je sois dans la rue ou chez moi, je cours les mêmes risques", dit l'un d'eux, haut comme trois pommes, en feignant l'assurance de celui qui en a vu d'autres.
Un autre enfant, Mohamad Bassal, affirme avoir été réveillé avec ses frères par les déflagrations dans le quartier. "Des débris de vitres sont tombés sur nos têtes, l'électricité a été coupée et nous avons commencé à hurler. Ma mère est venue et elle nous a enlacés", dit-il.
"Nous avons encore peur car les juifs sont fous et n'épargnent personne, même pas les enfants", renchérit son frère Nidal, 12 ans.

31 octobre 2010

فلنُسقط الحصار عن غزة

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